Une affaire de « météo‑sensibilité »

Nonobstant de trôner sur nos tables estivales, voilà que le rosé déboule aujourd’hui en hiver. Le goût pour la couleur, la variété des styles, la durée de vie d’un millésime : tout concourt à cette désaisonnalisation du rosé.

On a longtemps pensé que l’on faisait du rosé en Provence parce qu’il y fait chaud et que l’on y voulait un vin rafraîchissant ! Mais aujourd’hui, ça bouge. Dans les stations de ski, au bord de la mer, à la terrasse des cafés ou des restaurants des grandes villes, on consomme du rosé en toutes saisons. Surtout quand il fait beau, c’est ce qu’on appelle la météo-sensibilité.

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273,06 : le nouveau wine mook de l'AOC Côtes de Provence

273,06, c’est la distance en kilomètres entre le Mont-Blanc et la Sainte-Victoire

Pour le deuxième numéro de son mook, les Côtes de Provence ont matché leur univers avec celui des stations de ski. Au menu de cet objet collector de 60 pages : des portfolios, des grands formats, des interviews, des illustrations, des recettes…

Les différents contenus ont été confiés à de talentueux contributeurs, parmi lesquels les photographes Sébastien Van de Walle et Benoît Guenot, les journalistes Ezechiel Zérah, Sylvain Ouchikh, Sandra Moisson et Victor Coutard ou les illustratrices Marie Guillard et Vicky Royer. À découvrir sans modération !

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Pour le deuxième numéro de son mook, les Côtes de Provence ont matché leur univers avec celui des stations de ski. Au menu de cet objet collector de 60 pages : des portfolios, des grands formats, des interviews, des illustrations, des recettes…

Les différents contenus ont été confiés à de talentueux contributeurs, parmi lesquels les photographes Sébastien Van de Walle et Benoît Guenot, les journalistes Ezechiel Zérah, Sylvain Ouchikh, Sandra Moisson et Victor Coutard ou les illustratrices Marie Guillard et Vicky Royer. À découvrir sans modération !

Quant aux recettes, elles sont proposées par un collectif de chefs engagés, attentifs au rythme des saisons. On y retrouve des chefs en station, comme Benoît Vidal (L’Atelier d’Edmond, Val d’Isère), Julien Gatillon (Nous, Megève) ou Frédéric Desmurs (La Folie Douce, Les Arcs), et des chefs basés en Provence, comme Emmanuel Galera (L’Épicerie Simple, Toulon), Delphine Roux (Chez Madie Les Galinettes, Marseille), Hugo Van Vliet (Chez Hugo, Seillans) et bien d’autres.

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FREESTYLE & GOÛT DU STYLE

Au fil des pages, 273,06 révèle la place du rosé dans l’univers des stations de ski. Dans les restaurants d’altitude comme dans les chalets au pied des pistes, on raffole du rosé.

« Il y a une conjonction de valeurs entre la montagne et le rosé : le plaisir, la liberté… », analyse Artur Reversade, le directeur de La Folie Douce, interrogé dans un entretien croisé qui réunit également un responsable de la marque Rossignol et une productrice. Ces valeurs, elles traversent 273,06.

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Le rosé, ça se boit que l’été ?

Pour en finir avec toutes les idées reçues sur le rosé, c’est par là !
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